Maps of Pre-Columbian Civilizations

Pre-Columbian civilizations refer to the societies and cultures that thrived in the Americas before the arrival of Christopher Columbus in 1492. These civilizations, including the Maya, Aztec, and Inca, developed advanced knowledge in architecture, astronomy, agriculture, and governance, leaving a lasting impact on history despite their decline following European colonization.

Source: Britannica

Warren Buffett | Le Pari à 1 Million de Dollars


En 2007, Warren Buffett lançait un défi audacieux à l’industrie de la gestion d’actifs : un fonds indiciel S&P 500 (ETF) sur 10 ans ferait mieux que des fonds de hedge funds pourtant pilotés par des experts. Une décennie plus tard, le verdict est sans appel.

Un pari contre l’industrie financière

Connu pour son approche pragmatique de l’investissement et son aversion pour les frais de gestion élevés, Warren Buffett n’a jamais caché son scepticisme à l’égard des fonds activement gérés. En 2007, il décide de le prouver avec un pari public : sur une période de dix ans, un simple fonds indiciel (ETF) répliquant le S&P 500 offrirait de meilleurs rendements que des fonds de hedge funds, après prise en compte des frais.

Buffett propose des conditions claires :

  • Un hedge fund doit sélectionner au moins cinq fonds de fonds pour le pari.
  • La période d’évaluation est de 10 ans, de 2008 à 2017.
  • Le gagnant remporte un million de dollars, placé initialement sous séquestre sous forme d’obligations, dont la valeur finale reviendra à une œuvre caritative choisie par le vainqueur.

Malgré la simplicité et l’enjeu financier, seule une entreprise accepte le défi : Protégé Partners, une société spécialisée dans la sélection de hedge funds.

Un duel asymétrique

Les forces en présence sont contrastées. D’un côté, un simple fonds indiciel Vanguard répliquant le S&P 500, avec des frais de gestion inférieurs à 0,1 %. De l’autre, cinq fonds de fonds, regroupant plusieurs hedge funds pratiquant des stratégies sophistiquées, avec des frais multiples à différents niveaux.

L’approche de Protégé Partners repose sur la conviction que des gestionnaires talentueux, capables de naviguer à travers les crises, offriront un rendement supérieur, tout en limitant les baisses en période difficile. Buffett, lui, défend la simplicité : un investisseur moyen, en plaçant régulièrement dans un fonds indiciel, obtiendra sur le long terme une performance robuste, sans avoir à supporter des frais excessifs ni à deviner les tendances du marché.

La crise financière en arbitre

Dès la première année, la crise de 2008 semble donner raison aux hedge funds : le S&P 500 plonge de 37 %, tandis que les fonds choisis par Protégé Partners limitent la casse. Mais sur la décennie suivante, l’indice boursier rebondit fortement, porté par l’expansion économique et les politiques monétaires accommodantes.

Au final, en 2017, le verdict est sans appel :

  • Le fonds indiciel Vanguard S&P 500 a enregistré une performance cumulée de +125,8 %.
  • Les fonds de Protégé Partners affichent une progression moyenne de +36,3 %, largement distancée.

Une leçon pour les investisseurs

Buffett remporte donc son pari haut la main et offre les gains à l’association Girls Inc. of Omaha. Mais au-delà du triomphe anecdotique, cette expérience illustre une tendance structurelle : l’essor de l’investissement passif et la remise en question des frais élevés de la gestion active.

En 2017, Warren Buffett résume ainsi la leçon : « La majorité des investisseurs seraient bien mieux lotis en achetant simplement un fonds indiciel à faible coût et en le conservant à long terme. »

Un message qui a trouvé un large écho : ces dernières années, la gestion passive a attiré des flux massifs, au détriment des hedge funds et de la gestion active traditionnelle. Et si Buffett ne fait pas souvent de paris, celui-ci restera dans l’histoire comme une démonstration éclatante de la puissance de l’indexation.

Petite Histoire de Responsabilité

 

C’est l’histoire de quatre individus : Chacun, Quelqu’un, Quiconque et Personne.

Un travail important devait être fait, et on avait demandé à Chacun de s’en occuper :

  • Chacun était assuré que Quelqu’un allait le faire.
  • Quelqu’un s’est emporté parce qu’il considérait que ce travail était la responsabilité de Chacun.
  • Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s’était rendu compte que Chacun ne le ferait pas.

À la fin, Chacun blâmait Quelqu’un, du fait que Personne n’avait fait ce que Quiconque aurait dû faire.

Brooks’ Law: Bigger Teams, Bigger Problems?

When a project falls behind schedule, the knee-jerk reaction is often to add more people to the team. But does this actually help? According to Brooks’ Law, the answer is a resounding no. In fact, it might make things worse.

📉 𝐁𝐫𝐨𝐨𝐤𝐬’ 𝐋𝐚𝐰 𝐢𝐧 𝐚 𝐍𝐮𝐭𝐬𝐡𝐞𝐥𝐥
“Adding manpower to a late project makes it later.”
More people = more complexity, not more progress.

💡 𝐖𝐡𝐲 𝐁𝐢𝐠𝐠𝐞𝐫 𝐓𝐞𝐚𝐦𝐬 𝐁𝐚𝐜𝐤𝐟𝐢𝐫𝐞
● 𝐑𝐚𝐦𝐩-𝐔𝐩 𝐓𝐢𝐦𝐞: New team members need time to get up to speed, pulling focus and resources away from the project.
● 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐎𝐯𝐞𝐫𝐥𝐨𝐚𝐝: More people mean more meetings, emails, and misaligned priorities. Coordination becomes a bottleneck.
● 𝐃𝐢𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐡𝐢𝐧𝐠 𝐑𝐞𝐭𝐮𝐫𝐧𝐬: Not all tasks can be easily divided, and adding more hands can lead to duplicated efforts or confusion.

🔑 𝐇𝐨𝐰 𝐭𝐨 𝐀𝐯𝐨𝐢𝐝 𝐭𝐡𝐞 𝐏𝐢𝐭𝐟𝐚𝐥𝐥𝐬
● 𝐒𝐭𝐢𝐜𝐤 𝐭𝐨 𝐒𝐦𝐚𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐒𝐤𝐢𝐥𝐥𝐞𝐝 𝐓𝐞𝐚𝐦𝐬: Focus on quality over quantity. A smaller, highly skilled team can often outperform a larger, less cohesive one.
● 𝐒𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦𝐥𝐢𝐧𝐞 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧: Use tools and processes that minimize friction and keep everyone aligned.
● 𝐀𝐝𝐝𝐫𝐞𝐬𝐬 𝐑𝐨𝐨𝐭 𝐂𝐚𝐮𝐬𝐞𝐬: Instead of adding people, identify and fix the underlying issues causing delays.
● 𝐏𝐥𝐚𝐧 𝐟𝐨𝐫 𝐑𝐞𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐢𝐜 𝐓𝐢𝐦𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬: Avoid overpromising and set achievable goals from the start.

🌟 𝐓𝐡𝐞 𝐁𝐢𝐠 𝐓𝐚𝐤𝐞𝐚𝐰𝐚𝐲: More people ≠ More productivity. The right team size matters!

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